Quiproquo

Je dois appeler un pote des scouts, dont le totem est Narval, pour lui demander des infos
Je cherche dans l’annuaire de mon gsm, je clique sur Narval, ça sonne, ça décroche.

Moi : Salut, c’est JP, tu vas bien Narval ?
Lui : Oui, oui! Bien bien…
Moi : La réunion d’hier, ça s’est bien passé ?
Lui : Oh oui !
Moi : dis, j’ai besoin que tu me files le listing de ta section pour que je puisse l’envoyer à la fédé.
[Une voix féminine beugle derrière lui…]
Lui : Désolé, j’ai pas bien compris… On me gueule dans l’oreille en même temps…
Moi : Faut que tu m’envoies le listing de ta section au plus vite, c’est pour la fédé.
Lui : Bin écoute, je vais te passer Noémie, ce sera plus simple
[Moi dans ma tête : il a une copine ? elle s’appelle Noémie ? J’suis toujours le dernier au courant moi !]
Elle : Salut, vous voulez réserver une table ? Pour combien ? Pour mercredi ?

C’est là que je comprends qu’à Narval dans mon gsm, il n’y avait pas un animateur de mon Unité… mais bien le resto où j’ai fait le souper de ma thèse…
La gêêêêêêêne !

La preuve par l'image

Voila, pour prouver à Hollynx ma bonne foi ;-)

Shaun the Sheep

7h30. Comme chaque matin, j'allume la télé, le temps du petit-déjeuner. Il y a quelques semaines encore, TF1 passait Bob l'éponge à cette heure-là : l'idéal pour se mettre de bonne humeur le matin! Mais depuis, TFou a revu sa grille horaire... et diffuse Dora l'exploratrice. Ou Diego, le vétérinaire de la jungle. Je n'ai rien contre eux, mais ces nouveaux dessins animés où les personnages posent des questions aux enfants et attendent leur réponse avant de continuer leurs palpitantes aventures me laissent froid. Ainsi, quand Dora me demande si je vois Shipper le Renard quelque part, je me vois mal lui crier "Derrière la grange, Dora!". J'ai donc changé de programme matinal, et regarde le 12 minutes sur la RTBF : un rappel des principaux titres de l'actualité. Plus sérieux, mais nettement moins comique que Bob l'éponge...

Ce matin donc j'allume la télé. Je mets le 4 - oui, la RTBF ici, c'est le 4, pas le 5, ça n'a l'air de rien mais ça fait l'objet de grandes discussions! - et pan, fin du journal. Et merde! Ce sera donc Dora l'exploratrice, pffff...

Eh ben non! Apparemment, le mercredi, c'est un tout autre programme! J'ai ainsi découvert Shaun le Mouton, et purée, j'ai bien ri! Un petit film d'animation de cinq minutes, en pâte à modeler, qui raconte la vie d'un troupeau de mouton, du berger et de son chien. Ca n'a l'air de rien, mais c'est vachement bien fait! TF1 devait se douter que ça n'allait pas plaire qu'aux tout petits. Pour preuve, il annonce sur sa page que le public cible sont les 4-8 ans, mais aussi les jeunes adultes!

En attendant de découvrir les nouvelles aventures de Shaun la semaine prochaine (aventures que l'on peut se regarder à nouveau sur le mediaplayer de TFou), je vous laisse découvrir Shaun et le cerf-volant :

J+4 : Sète et le libertinage

Souvenirs de vacances

3000 km sans capote

Attention, ce post s’adresse à un public averti !

A Sète, après le Miam, nous n’étions pas au bout de nos surprises. Au beau milieu de l’avenue Gambetta, notre regard a été instinctivement attiré vers une boite au nom évocateur, décorée dans les tons de rose et ornée d’inscriptions qui vantaient les mérites de la faune que l’on pouvait y trouver à l’intérieur.
Curieux de nature, nous voulions en savoir plus. D’abord hésitants, nous sommes passés à plusieurs reprises devant l’entrée. Puis nous avons fini par nous laisser tenter.
Nous nous étions toujours promis de faire attention, et nous avions fixé certaines limites. Mais voila, tout nous attirait… même l’odeur, et puis c’était les vacances… Finalement, on a craqué, on s’est laissé aller… et franchement c’est plutôt pas mal. Il est certain que si on repasse par Sète, on se relaissera tenter…

Si vous voulez en voir plus… cliquez par ici ;-)

Kusjesparade

A défaut de trouver la veste de mes rêves à Liège, à Maastricht ou à Visé, nous nous sommes décidés hier à aller faire un tour chez nos amis flamands à Hasselt. Espérant que ma veste en feutre noire mi-longue, un peu cintrée et qui ne fasse pas Colombo se trouve dans leur collection.

Résultat des courses : toujours aucune veste (je me demande où tous ces types que je vois en rue ont bien pu acheter la leur…) ! Par contre, nous sommes tombés en pleine « Hasseltse Jeneverfeesten », la fête du genièvre.
Un peu partout dans la ville, des échoppes pour manger et boire (oui, surtout boire) ce fameux genièvre tout en se trémoussant le popotin au rythme de musiques de carnaval qui rendraient fou de jalousie tout allemand qui se respecte et faire fuir au plus loin un mélomane.

Cerise sur le gâteau, en plein cœur de la ville, juste derrière un groupe de majorettes du meilleur goût, un concert mobile du groupe flamand K3!

Un subtil mélange entre les Spice girls, Lorie et Chantal Goya. Un régal ! D’ailleurs, on vous laisse déguster

Si vous n’en avez pas assez, en voila encore deux : ici et là.

Je ne comprends quand même pas comment on a jamais gagné l’eurovision, les années où c'est la flandre qui représente la Belgique…

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Merci à Hollynx pour l'invit ;-)

J+4 : Et, Miam !

Souvenirs de vacances

3000 km sans capote

A Sète, notre curiosité fut attisée par un musée au nom plutôt pas banal : le Miam! Le Musée International des Arts Modestes est un espace original, qui veut rendre ses lettres de noblesses aux cadeaux Bonux, aux Crok'images, au Banania et autres Pez! Dans un bric-à-brac d'objets en tout genre, on ne peut s'empêcher de sourire à tous ces souvenirs d'enfance. Même si l'exposition s'adresse plus particulièrement à des quadragénaires, chacun ira de sa petite anecdote, que ce soit sur les Choco BN ou le Sironimo... Car après tout, Sironimo, c'est ri-go-lo!

Reste à espérer que la collection se complètera au fil des années, pour que dans 20 ans, nous puissions tous aller faire le plein de nostalgie au Miam!

Mais ce n'est pas tout! En plus de l'expo permanente, le Miam rend actuellement hommage à une autre forme d'art, urbain cette-fois. Le graffiti investit en effet l'espace, du sol au plafond, et ça vaut le coup d'oeil! C'est Hollynx qui doit être aux anges!

J+4 – Autour de l’étang de Thau

Souvenirs de vacances

3000 km sans capote

Un peu de retard dans notre album photos de vacances… On s’y remet donc !
Deuxième étape de notre périple : l’étang de Thau, dont nous avons fait le tour sous un soleil de plomb.
Nous quittons Bouzigues direction Agde. D’abord la vielle ville aux maisons en pierre de lave qui lui donnent un style unique, puis Le-Grau-d’Agde petit village de pêcheurs encore assez épargné par le tourisme de masse qui fait face à La Tamarissière (Tiens, donc !).

Ensuite, nous empruntons la N112 qui relie Agde à Sète en emprunte un mince bras de terre entre l’étang de Thau d’un côté et la mer de l’autre… Plutôt plaisant à parcourir en cabriolet, mais ça doit être noir de monde en été.
Nous rejoignons finalement Sète. Animée et touristique à souhait, nous n’y avons pas fait long feu. Juste le temps d’aller faire un pti tour au MIAM et d’acheter les pâtisseries locales (plus d’infos là-dessus très vite).

Nous finirons la journée par un super petit resto : Le Saint-Julien à Bouzigues, accueil excellent, carte régionale typique. Le genre de resto « pour les locaux » comme on adore. Conseillez par le routard… et par nous maintenant ! ;-)

LE SAINT JULIEN
2 Place Vieux Port
34140 Bouzigues
Tel: 04 67 53 27 70

Pause photo : Photo de famille

C'est Stephiii qui va être fier ;-)

Pause photo : irrésistible attraction

Vu du bas :Vu du haut :

Mes fils, ma bataille

Ma collègue, Sophie, elle est dingue de ses gosses. Ils sont partout : de son fond d’écran aux photos sur son bureau. Elle nous donne de leurs nouvelles tous les matins. Pour peu elle répondrait à la question « comment vas-tu ? » par « ils ont bien dormi cette nuit ». Plusieurs fois par jour, elle s’exclame en regardant son écran « qu’ils sont mignons mes bébés ! ».
Ses bébés ! Deux faux jumeaux de deux ans qui lui ont coûté son ancienne fonction: de retour de congé de maternité, on lui avait ‘réorganisé’ son activité de travail. Son absence trop longue et sa demande de mi-temps avaient déplu à son supérieur qui l’avait mise sur une voie de garage. Après plusieurs mois difficiles, elle avait décroché un poste chez nous. Elle est arrivée quelques semaines après moi et avait été installée sur le bureau en face du mien.
Au fil des jours, nous sommes devenus assez complices. J’adore son caractère bien trempé, son sens de l’humour et de la répartie, qui nous emmènent souvent dans des joutes vocales et autres délires en tous genres.
Un jour où elle se plaignait d’avoir trop chaud, je lui ai dit qu’il s’agissait sans doute de son retour d’âge. Plutôt que de me renvoyer la balle de plus belle, comme à son habitude, elle m’a souri en me regardant et m’a simplement répondu « ça se pourrait bien, je suis ménopausée ».
Plutôt étonnant pour une fille de la petite trentaine. Je ne devais pas être le seul à le penser, j’avais le sentiment que l’activité sur le plateau s’était arrêtée et qu’une dizaine de paire d’yeux nous observaient.
Elle a commencé à nous raconter qu’il y a 4 ans, en réalisant des tests de fécondité, on a découvert chez elle un cancer des ovaires. Elle a subit chimio et divers traitements mais avait toujours gardé le moral car on lui avait dit qu’il était possible qu’elle soit enceinte après le traitement. Elle s’était accroché à cette idée et ne s’y était pas trompée : elle avait pu venir à bout de sa maladie et permettre à deux magnifiques jumeaux de voir le jour, deux petits miraculés.
Par la suite, une dernière intervention chirurgicale avait compromis à jamais ses chances d’enfanter à nouveau.
Dans ces conditions pas étonnant qu’elle soit complètement dingue de ses bébés ! Depuis cela, ils sont véritablement devenus la mascotte du bureau. Personne n’omet jamais de lui demander comment ils vont en la croisant le matin. Et moi je ne me lasse pas de l’écouter parler d’eux, le regard pétillant ! Quelle super maman !

Et moi je suis un homme qui aime bien ce genre de jeu …

Renan Luce découvert il y a quelques jours sur Mint. On aime parce que c’est rythmé, parce que c’est bien écrit, parce que ça reste en tête et que ça met de bonne humeur pour la journée.

Renan Luce - La Lettre

On s’est chopé la chanson sur i-tunes. Demain, je fonce à la Fnac acheter l’album !

Et puis tant qu’on cause musique, en voici un autre, Fabien Cahen, découvert aux Francofolies de Spa cet été.

Un peu plus rock, mais c’est le genre de musique qui nous donne la pêche quand elle balance dans l’i-pod le matin sur le chemin du boulot.

Fabien Cahen - C'Est Beau La Vie

Belgique attitude

Typhus©, la marque belge aux t-shirts toujours plein d’humour, de jeux de mots et de réflexions sur la société, a décidé de s’inspirer de l’actualité politique belge pour décorer sa vitrine liégeoise.

Ainsi on retrouve José Happart en Super Wallon, Yves Leterme portant fièrement une faucille tout en annonçant qu’il n’est plus le même, Elio Di Rupo avec nœud pap sur un petit top rose qui lui va à ravir. Même notre souverain y passe…

Je me demande comment ils auraient pu pasticher Joelle Milquet ou Bart de Wever

Rien de tel qu’une bonne dose d’humour belge en attendant que l’orange bleue mûrisse! C’est peut-être un fruit d’hivers, finalement.

Journée découvert entreprises

Filtre à ruban, four rotatif, clinker, brûleur à gaz, laitier, attriteur, broyeur à billes…

Tous des mots qui me rappelle mon illustre passé (et très probable futur) de chimiste. J’étais donc dans mon élément cette aprem lors de la visite de la cimenterie CBR (Lixhe) qui ouvrait ses portes au public à l’occasion de la journée « découverte entreprises ».

Outre mon excitation de gosse à voir ces méga-structures se mettre en branle pour brasser des tonnes de matières premières et produire un des éléments de base de nos constructions modernes, j’ai été très agréablement surpris de la prise de conscience de l’impact de l’industrie sur l’environnement.

Il n’est pas un secret que l’industrie cimentière est un poids lourd en termes d’émissions de CO2, mais à défaut de pouvoir empêcher la décarbonatation des matières premières (étape préliminaire pour la préparation du ciment) une partie des matières premières sont remplacées par des sous-produits d’autres industries (comme les cendres volantes ou le laitier de haut-fourneau). Par ailleurs, tout est mis en œuvre pour réduire la consommation d’hydrocarbures pour le fonctionnement des fours. Ainsi, boues de dragages des stations d’épuration, sciure de bois et même, vieux pneus sont utilisés comme combustible. Pas d’affolement, les produits de combustion toxiques sont captés par des filtres à la sortie des cheminées… Bon ok, le devenir de ces filtres est passé sous silence (il est peut-être souhaitable de les entreposer à Mol avec les déchets espagnols), mais il y a tout de même un réel effort qui est fait, enfin !

Un samedi soir sur la terre

Un peu d’exotisme dans votre assiette, ne vous fait pas peur ? Vous appréciez les saveurs ? Vous n’avez pas une aversion profonde pour les pois chiches ?
Vous devriez adorer Le Taboulé (Place du XX Août à Liège), resto libanais que nous avons tenté avec Gisèle et Eric samedi.

Un moment de dépaysement qui commence déjà par la carte : un véritable casse-tête ! Donc, il nous a semblé préférable de laisser le soin au cuistot de nous proposer un menu typique et varié.

Par contre, évitez ce resto le jour de la nocturne des coteaux de la Citadelle. Le service n’est pas vraiment rapide (peut-être que le livre de cuisine est aussi complexe que la carte).
Enfin, en faisant le forcing nous avons tout de même pu admirer Liège d’en haut et traverser jardins et ruelles à la lueur des quelques bougies qui restaient encore allumées. Magique ! Et la ville est belle quand on veut se donner la peine de la regarder (et faire abstraction de quelques building, d’accord).

Tsss, qu’est-ce que j’entends là comme commentaire sur la photo ! Oui, c’est Eric qui la faite et pas moi… Mais c’est avec mes piles… Respect ! ;-)

Time goes by

Mon stage en RH touche à sa fin. Bientôt, j’entamerai un stage bien plus financier, mais cette fois à Liège.
J’avais pas mal d’appréhensions pour ce premier stage à Bruxelles. Moi qui avais passé 10 ans dans les labos de mon université de province, je me retrouvais bombardé à la capitale dans un milieu qui n’était pas le mien.
On m’avait dit qu’à Bruxelles les gens sont froids ; que faire la navette en train est crevant ; que les trains sont toujours en retard et bondés ; qu’au siège de La Boîte, ils sont à mille lieux de la réalité de terrain ; que là-bas, quitter avant 18h30 est un signe de paresse.

Tout n’était pas faux mais rien n’était insurmontable.
Pour les transports en commun, on développe vite des petits trucs pour s’améliorer le quotidien. C’est un peu Struggle for life.
Mais il y a aussi d’excellents moments. Retrouver Fabian tous les soirs pour voyager en première (déclassée). Retrouver la bande du vendredi soir pour prendre l’apéro. Là jamais personne ne sait plaint que le train prenne du retard sur le trajet.

La vie au siège. Il n’est pas faux que leurs préoccupations sont parfois bien éloignées de celles des conseillers en agence. La pression vient d’ailleurs. Elle n’est pas commerciale, elle vient d’en haut sans que personne ne sache vraiment d’où elle vient et ce qu’elle est. Les intérêts individuels et politiques prennent souvent l’ascendance sur une stratégie globale et bien construite.
Mais je garde le sentiment d’une infinie lenteur. Les décisions prennent un temps fou à aboutir et le nombre de personnes à consulter est démentiel.
Plus les gens ont une fonction importante, plus ils sont atteints d’un virus agressif : la réunionite. Toute la journée, ils courent de bilatérales en team meeting ; de conference call en project coordination meeting. Ils arrivent toujours à trouver des noms aussi impressionnants que longs. Mais toujours, la montagne accouche d’une souris. Et cette souris change de couleur à la fréquence des avions que l’on voit décoller au loin de l’aéroport.

Enfin l’aspect humain restera le plus important. J’ai été magnifiquement intégré dans l’équipe. Une véritable complicité est née avec certains et certaines.

Comme à la fin du stage précédent, deux sentiments se mêlent. D’une part l’envie de voguer vers d’autres horizons, de découvrir de nouvelles choses. Et d’autre part, cette difficile séparation avec ces gens dont je suis maintenant proche. Je sais qu’il me restera un vide et qu’il faudra tout reconstruire dans mon prochain stage.
Je suis certain que je rencontrerai encore beaucoup de gens vraiment très chouettes… des p’tits cons aussi !
Mais ils seront différents et mes collègues de Bruxelles me manqueront sans doute !
Je suis décidément trop sentimental.

Pause photo : Belgique-attitude

Les terrasses - Liège

Cette année, il y aura la grande roue

Dans cinq jours, le boulevard d’Avroy vibrera comme chaque année au rythme de la foire d’octobre (qui dure jusque mi-novembre, logique !).
Dès ce week-end, les forains ont commencé à envahir les lieux. Entre les dizaines de caravanes, les camions et les grosses berlines, les attractions commencent à pousser. Les badauds circulent déjà dans ce qui sera l’artère principale, évitant au passage une galerie de toits aux mille couleurs ou une nacelle qui attend d’être arrimée à la structure à peine stabilisée.
Je reste toujours stupéfait de voir les simples cales de bois utilisées pour mettre à niveau des attractions de plusieurs tonnes.

Plus que quelques jours à attendre pour redécouvrir avec énormément de plaisir les odeurs et les sensations. Et du haut de la grande roue, voir la ville, ma ville.

En attendant, je me régale sur le blog de Jean-François Loi, crée spécialement pour la foire de Liège.
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400 millions d’euro pour les grands travaux inutiles wallons

La Région wallonne, qui ne dispose pas vraiment de budgets faramineux, semble ne pas avoir encore oublié l’horrible projet de liaison autoroutière entre Cerexhe-Heuseux et Beaufays.

Si l’incompétence de nombres de gouverneurs wallons n’était plus à démontrer, voici pourtant un exemple de plus à épingler : à l’heure où il faut faire face aux défis climatiques et penser la mobilité de demain, chez nous les élus pensent toujours à boire un verre avec 40 ans de retard !

Merci mais cette liaison, on en veut pas !
Nous sommes déjà plus de 2380 à avoir dit NON à cette liaison, et OUI au développement d’un mode de transport bien plus respectueux de l’environnement : le tram !

Pour signer la pétition, c’est par ici !

Info trouvée chez Des Bulles

Kiss&Ride

Avis aux navetteurs du train Liège-Bruxelles de 7h36

Putain les gars, ça vous dérangerait beaucoup de prendre une douche et de vous brosser les dents avant de monter dans le train (le parfum, bien choisi, en plus, ce serait vraiment top) !

Pensez aux autres, juste après le pti déj, c'est dur dur !

Quant au gros moche qui était à côté de moi ce matin : toi, la douche et le détartrage, ça ne suffira pas ! Tu dois pourrir de l'intérieur !