Allo ?!? C'est pour une bonne nouvelle ?
Je n’sais pas vous, mais moi, il suffit que je sois à l’étranger ou en réunion pour qu’on essaye de me téléphoner…
C’est ainsi que mon portable n’a pas arrêté de sonner alors que je descendais les pistesverglacées enneigées des Alpes françaises.
Malgré le message d’accueil que je prends toujours la peine de changer pour signifier mon absence, certains s’obstinent (n’est-ce pas J.)… Ajoutez à cela ma messagerie vocale qui prend la peine de m’appeler toutes les 7 minutes pour me faire écouter ces messages blancs où la personne a raccroché quelques secondes après le bip fatidique… j’ai dû passer pour un type hyper important à la montagne, genre le type qui a 27 ans, dirige déjà un empire et dont on ne peut se passer pendant plus de 24h…
Mais bon, entre les coups de fil d’un intérêt moyen (cf. le même J.), il y en a un qui a probablement initié un bouleversement important dans ma vie…
Sur mon répondeur, d’un français chargé de tonalités typiques du nord du pays, une dame me donnait enfin des nouvelles de cet entretien d’embauche que j’avais passé plusieurs mois auparavant. Subitement son collègue voulait me rencontrer, très rapidement, pour une nouvelle interview.
Nouvelle interview qui s’est soldée après une vingtaine de minutes par une jolie proposition de contrat dans une grande institution financière du pays… :-p
Voila donc un terme (tout au moins momentané, mais salvateur) à la carrière du JP chimiste pour une version JP finance…
Depuis je passe de la réaction enthousiaste des uns à l’incompréhension la plus totale des autres (visiblement ma grand-mère a plus apprécié que je sois homo que de me voir dans la finance… allez comprendre).
La palme de la réaction la moins enthousiaste (et c'est peu dire) revient incontestablement à, C., machieuse de collègue directe (qui a d’ailleurs été la moteur principal à ma recherche d’un nouvel emploi… incompatibilité d’humeur disons, pour faire bref)…
Entre un « tu nous laisses dans la merde » et un « et tu savais pas attendre la fin de ton CDD avant de partir », il y a eu quelques échanges moins softs que je tairais… Signalons tout de même que j’ai mis tout en œuvre pour perturber le moins possible l’organisation du labo par mon départ et que cette garce a une place assurée sous le soleil de cette belle université… Mmm, que je sens que le mois et demi qui vient va être amusant !!! Enfin si elle ne voulait pas me faire regretter une seconde mon départ, elle est à 100% dans le bon !
C’est ainsi que mon portable n’a pas arrêté de sonner alors que je descendais les pistes
Malgré le message d’accueil que je prends toujours la peine de changer pour signifier mon absence, certains s’obstinent (n’est-ce pas J.)… Ajoutez à cela ma messagerie vocale qui prend la peine de m’appeler toutes les 7 minutes pour me faire écouter ces messages blancs où la personne a raccroché quelques secondes après le bip fatidique… j’ai dû passer pour un type hyper important à la montagne, genre le type qui a 27 ans, dirige déjà un empire et dont on ne peut se passer pendant plus de 24h…
Mais bon, entre les coups de fil d’un intérêt moyen (cf. le même J.), il y en a un qui a probablement initié un bouleversement important dans ma vie…
Sur mon répondeur, d’un français chargé de tonalités typiques du nord du pays, une dame me donnait enfin des nouvelles de cet entretien d’embauche que j’avais passé plusieurs mois auparavant. Subitement son collègue voulait me rencontrer, très rapidement, pour une nouvelle interview.
Nouvelle interview qui s’est soldée après une vingtaine de minutes par une jolie proposition de contrat dans une grande institution financière du pays… :-p
Voila donc un terme (tout au moins momentané, mais salvateur) à la carrière du JP chimiste pour une version JP finance…
Depuis je passe de la réaction enthousiaste des uns à l’incompréhension la plus totale des autres (visiblement ma grand-mère a plus apprécié que je sois homo que de me voir dans la finance… allez comprendre).
La palme de la réaction la moins enthousiaste (et c'est peu dire) revient incontestablement à, C., ma
Entre un « tu nous laisses dans la merde » et un « et tu savais pas attendre la fin de ton CDD avant de partir », il y a eu quelques échanges moins softs que je tairais… Signalons tout de même que j’ai mis tout en œuvre pour perturber le moins possible l’organisation du labo par mon départ et que cette garce a une place assurée sous le soleil de cette belle université… Mmm, que je sens que le mois et demi qui vient va être amusant !!! Enfin si elle ne voulait pas me faire regretter une seconde mon départ, elle est à 100% dans le bon !
1 commentaire:
Encore félicitation de nous!
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